L'âme humaine disséquée avec légèreté, humour mais aussi avec gravité et profondeur par le témoignage du Grand Hôtel. Surprenant et tellement vrai !
Marc M. (France)
La description de la ville de Wimereux, des habitants, du marché… de cette station balnéaire aux villas anglo-normandes proche de Boulogne-sur-Mer dans le Pas de calais, nous a donné envie de nous y rendre. Le Grand Hôtel est une résidence surprenante par sa taille et son histoire. L’autrice nous a permis de le visiter ! Etonnement face à ce géant splendide mais aussi intriguant ! Merci à la romancière et à Vianette Bienvenue pour ce beau périple !
Aline et Léa (Belgique)
En vacances à Wimereux Côte d’Opale ce lundi 8 juillet, malgré une météo maussade. Contre vents et marées, je me suis rendue à la Galerie dig’espace sur la digue, pour rencontrer Marie Simone Poublon l’Autrice. J’ai acheté son dernier livre que je ne quitte plus (c’est mon livre de chevet depuis j’aime beaucoup cette histoire du grand Hôtel, très agréable à lire… Belle rencontre très Sympathique
Monique B. (Belgique)
It was Nice to meet you ! J'aime votre livre !
Annie D. M., Author (Angleterre)
C’est à la suite de la lecture de votre dernier roman L’Etrange Vianette Bienvenue que je me permets de vous écrire... Au-delà du plaisir général que j’ai eu à vous lire, j’ai éprouvé un sentiment bien particulier notamment lors de la seconde partie de votre ouvrage : un mélange de satisfaction et de mélancolie, lequel est resté pour moi un amalgame plus que plaisant tout au long de ma lecture.
D’une part, la satisfaction fut celle de s’imaginer la jeunesse du Grand Hôtel : le faste de ses salons, de ses fêtes, de ses parquets, de ses miroirs, de ses meubles et de ses tableaux qui l’avaient habillé autrefois. Mais c’est aussi le faste d’une clientèle notable ayant jadis fréquenté ces lieux. A cet égard, l’idée fantasque d’y croiser une dame à l’ombrelle lors de mon séjour m’avait plusieurs fois traversé l’esprit…
D’autre part, un sentiment de mélancolie est venu s’interposer lorsque l’Hôtel nous conte les blessures subies dans sa pierre : le dépouillement de ses richesses, le démantèlement de ses balcons, son exposition aux flammes ou encore son morcellement en lots d’appartements.
Toutes ces affres me font amèrement regretter cette période révolue du Grand Hôtel qui, tout comme pour ses clients, était celle de sa « Belle Epoque » : époque qui me fascine tout particulièrement.
Ainsi, c’est cette confusion de ces deux émotions qui m’ont permis d’apprécier pleinement L’Etrange Vianette Bienvenue. Aujourd’hui, je prends plaisir à imaginer le Grand Hôtel tel qu’il était dans le passé et ce, grâce à sa cage d’escalier et son ascenseur d’origine, mais aussi désormais grâce à votre roman ! En ce qui me concerne, le Grand Hôtel – bien qu’il ne soit plus dans son état originel – fera toujours l’objet de mon admiration ; et j’aurai à l’avenir une pensée systématique pour Vianette Bienvenue en passant devant sa façade.
Je serai encore plus qu’avant à l’écoute – et pour reprendre vos mots – de toute pierre qui quelque part me racontera son histoire. !
Ludovic G. (France)